“Ça ne me plairait pas d’être battue…” ("L’assommoir", T. II : p. 410)un mal endémique dans "les rougon-macquart"

  1. Edurne Jorge Martínez 1
  1. 1 Universidad de Murcia
    info

    Universidad de Murcia

    Murcia, España

    ROR https://ror.org/03p3aeb86

Liburua:
Misoginia y filoginia: fuerzas discursivas simbólicas en la narrativa internacional
  1. García Fernández, José (coord.)
  2. Giacobbe, Giuliana Antonella (coord.)
  3. Riestra Camacho, Rocío (coord.)

Argitaletxea: Dykinson

ISBN: 978-84-1122-640-0

Argitalpen urtea: 2022

Orrialdeak: 243-259

Mota: Liburuko kapitulua

Laburpena

Les Rougon-Macquart mettent en lumière la violence, et en particulier, la violence conjugale, qui va souvent de pair avec l’alcoolisme qui détruit les ménages et avilit l’individu. Cette brutalité cautionnée par son caractère correctionnel atteint parfois son paroxysme avec la mort de la femme, voire celle des enfants. Zola clame son indignation face à cette apparente tolérance à l’égard de ces violences, en soulevant d’autres incohérences comme le silence complice de la société et l’inefficacité de la justice hésitant à intervenir.