Écriture de soi, autofiction et poétique du féminin dans “La mauvaise mère” de Marguerite Andersen

  1. Mangada Cañas, Beatriz 1
  1. 1 Universidad Autónoma de Madrid
    info

    Universidad Autónoma de Madrid

    Madrid, España

    ROR https://ror.org/01cby8j38

Revista:
Cuadernos de investigación filológica

ISSN: 0211-0547

Año de publicación: 2015

Tomo: 41

Páginas: 141-156

Tipo: Artículo

DOI: 10.18172/CIF.2724 DIALNET GOOGLE SCHOLAR lock_openDialnet editor

Otras publicaciones en: Cuadernos de investigación filológica

Resumen

El estudio propuesto de la última novela de la escritora francocanadiense de origen alemán Marguerite Andersen permitirá analizar e interpretar la proyección textual de la experiencia cosmopolita característica de esta autora. Asimismo, el acercamiento a las estrategias discursivas y a la combinación de géneros en torno a la escritura del yo, presentes en La mauvaise mère (2013) desvelan una configuración del universo femenino que contribuye a comprender la condición femenina en la sociedad occidental contemporánea. La escritura de Marguerite Andersen ilustra las nuevas tendencias estéticas de las literaturas francófonas actuales en las que abundan los escritos introspectivos en torno a la experiencia del desplazamiento desde una perspectiva de género.

Referencias bibliográficas

  • ALBALADEJO, T. (2011). «Sobre la literatura ectópica» dans Rem tene, verba sequentur! Gelebte Interkulturalität. Fetschrift zum 65. Geburtstag des Wissenschaftlers und Dichters Carmine/Gino Chiellino, (Eds. A. Bieniec, S. Lengl, S. Okou, N. Shchyhlebska), Dresden: Thelem.
  • ALFARO, M. Y MANGADA, B. (coord.) (2014). Atlas literario intercultural. Xenografías femeninas en Europa. Madrid: Calambur.
  • ANDERSEN, M. (1988). « L’autobiographie : tentation ou nécessité ? » dans La tentation autobiographique. (Communications de la 14e Internationale des écrivains tenue à Québec du 19 au 22 avril 1986), (Ed. P. Morency). Montréal: L’Hexagone.
  • ANDERSEN, M. (2000). Bleu sur blanc. Sudbury: Éditions Prise de parole.
  • ANDERSEN, M. (2013). La mauvaise mère. Sudbury: Éditions Prise de parole.
  • ANDERSEN, M. (2004). Parallèles. Sudbury: Éditions Prise de parole.
  • CORBLIN, F. (1987). Indéfini, défini et démonstratif, constructions linguistiques de la référence, Genève-Paris: Droz.
  • CORBLIN, F. (1995). Les formes de reprise dans le discours. Anaphores et chaînes de référence, Rennes: Presses universitaires de Rennes.
  • LECARME-TABONE, E. (2002). « Existe-t-il une autobiographie des femmes ? ».Magazine littéraire 409, Les écritures du moi, de l’autobiographie à l’autofiction: 56-59.
  • HAVERCROFT, BARBARA (2001). « Auto/biographie et agentivité au féminin dans Je ne suis pas sortie de ma nuit d’Annie Ernaux » dans La francophonie sans frontières : une nouvelle cartographie de l’imaginaire au féminin (Dir. L. Lequin et C. Mavrikakis), Paris: L’Harmattan.
  • MELANÇON, J. (2013). « Bleu sur blanc : une écriture au plus près de soi » dans Écrire au féminin au Canada français (Dir. J. Melançon). Sudbury: Prise de parole.
  • TENNIER-GIGLIOTTI, J. (2014). Le « vécrire » dans l’œuvre romanesque de Marguerite Andersen. A thesis submitted in conformity with the requirements for the degree of Doctor of Philosophy (PhD), Graduate Department of French, University of Toronto, (Accès 26 mars 2015).