La liberté libre à l’épreuve de la transculturation chez Malika Mokeddem

  1. Manuela Ledesma Pedraz
Liburua:
Les mondes du français: XXI Colloque de l'Asociación de Profesores de Francés de la Universidad Española
  1. Myriam Mallart (coord.)
  2. Marta Estrada (coord.)
  3. Catena, Àngels (coord.)
  4. Gemma Ventura (coord.)

Argitaletxea: Universidad Autónoma de Barcelona = Universitat Autònoma de Barcelona ; Universidad de Barcelona

ISBN: 978-84-941310-1-1

Argitalpen urtea: 2013

Orrialdeak: 209-219

Biltzarra: Asociación de Profesores de Francés de la Universidad Española (21. 2012. Barcelona-Bellaterra)

Mota: Biltzar ekarpena

Laburpena

Dans la perspective des études postcoloniales, l’écriture de Malika Mokeddem se révèle d’un grand intérêt du fait qu’elle rend manifeste la situation où se trouvent maints écrivains nés en Afrique du Nord avant la fin de la colonisation française. Appartenant à la culture algérienne par ses origines, elle choisira d’écrire dans la langue de l’Autre, ce qui aura pour effet une hybridation culturelle que nous analyserons dans Les Hommes qui marchent (1990) et Le Siècle des sauterelles (1992). Or, cette hybridation émane de la fascination exercée sur notre romancière par Isabelle Eberhardt, par le devenir-nomade de son écriture et son existence.